Métro, boulot, JO: Tout est question de détails
François Rossier
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Il n’y a pas que le diable qui se cache dans les détails. Les Jeux olympiques aussi. Entre la cérémonie d’ouverture et celle de clôture, chaque aspect des Jeux a été soigné avec méticulosité. Cela débouche sur une sobriété que seules les Olympiades peuvent encore offrir. Que ce soit dans les stades ou sur les maillots, pas trace du moindre sponsor ou d’une quelconque publicité.
Rassurez-vous, les partenaires officiels ont bien assez d’autres occasions (sur les écrans géants) et endroits (sur les façades des immeubles) de mettre leurs produits en évidence. Parenthèse refermée.
La pureté de l’événement tient aussi au travail réalisé au quotidien par des milliers de petites mains. Un travail de l’ombre que l’on peut apercevoir tard le soir au Stade de France. Pendant que les journalistes terminent leurs articles dans la tribune de presse, des centaines de personnes s’activent dans les gradins, sur la piste et sur le terrain. Pour nettoyer, tondre, ranger et… repeindre! Oui,