Les statistiques offrent plus de pistes aux équipes de volley
Le volleyball fait toujours plus appel aux statistiques pour mettre le doigt sur les points forts et faibles
Patrick Biolley
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Ligue A » Si les traditionnels football et hockey sur glace font, avec peine, gentiment la mue vers ce qu’on nomme pompeusement les statistiques avancées, le volleyball a, de son côté, sauté le pas depuis longtemps. Les chiffres, tableaux ou graphiques font partie du quotidien des entraîneurs et de leurs assistants. Les clubs engagent dorénavant des statisticiens pour pointer, en temps réel, les tendances, les positions à améliorer et les éléments faibles adverses sur qui appuyer le jeu. Des données qui peuvent se révéler cruciales, comme pour Guin qui reçoit Neuchâtel ce soir pour l’acte N°2 de la finale de ligue A.
«Les chiffres sont plus nets qu’une vidéo»
Noé Bolinger
Chez les Power Cats, ils sont deux, assis en fond de salle, à noter chaque toucher de balle, service ou bloc